Pourles Egyptiens de l'Antiquité, Rê, le Soleil, est la première divinité. Voguant sur la barque du jour et de la nuit, il observe depuis la voûte céleste le monde qu'il a formé. Plus à l 6ejour du Carême (lundi 22 février 2021) : voici quelques lignes de méditation sur le texte de la Création du monde. A A. La Parole. JE MÉDITE L’atelier. JE DÉCOUVRE La Parole. Genèse 1,1 – 2,2. Le texte médité. C’est évident pour tout le monde, la Genèse n’est pas un article de presse qui décrirait une réalité objective. Elle est un poème ! Oui. Mais n’est-elle que Unesélection de poèmes sur le thème de la religion et de la foi proposés par le site de poésie française, poetica.fr. Aller au contenu Poésie, poèmes et poètes LaTerrasse est le journal de référence du monde des arts vivants depuis 1992. Il propose chaque mois une sélection de critiques, portraits, entretiens, articles, focus, dossiers dans les domaines du théâtre, du cirque contemporain, de la danse, de la marionnette, de l’opéra, de la musique classique, du jazz, des musiques du monde et de la chanson. Pointsde vigilance pour la programmation de lecture CM2-6ème « Poèmes de siècles différents célébrant le monde et/ou témoignant du pouvoir créateur de la parole poétique » : entrée identique. Vivre des aventures (CM2) / Récits d’aventures (6ème) Il pourrait se produire que le conte soit étudié chaque année du CM2 à la 5ème vermifugechaton naturel imaginer la création du monde 6ème. By May 31, 2022 le coq et la pendule wikipédia May 31, 2022 le coq et la pendule wikipédia Poèmes- 6ème/5ème aux éditions Hachette education. Bibliocollège : une collection d'oeuvres classiques conçue pour les élèves de collège et recommandée par les enseignants - Le texte intégral annoté.- Un questio mCwuDUc. A partir de l'avancée rapide des sciences et des grandes découvertes scientifiques de ces derniers temps, beaucoup de personnes se demandent Comment le monde a-t-il été formé ? Comment la vie a-t-elle surgi sur terre ? Qu’est-ce que la Bible nous dit à ce propos ? Y a-t-il contradiction entre la Bible et la science ? Prenons le temps d’approfondir ces thèmes. D'entrée de jeu, disons que la Bible n'est pas un livre de science mais un livre théologique, un livre inspiré par Dieu. Et, s'il est vrai qu’on y trouve les réponses dont le croyant a besoin pour son salut, il n'est pas moins vrai qu’on n'y rencontre pas toutes les réponses scientifiques que l’homme souhaiterait trouver dans ses recherches. Et cela, simplement, parce que Dieu l'a voulu ainsi. Le plan de Dieu pour l'homme, c'est qu’il découvre progressivement, avec son intelligence et sa raison, par lui-même, quelle est l’origine de l’humanité et de l'univers. 1. Qui a fait le monde ? La réponse théologique à cette question est donnée par la Bible dans le livre de la Genèse “Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre". En tant que chrétiens, nous croyons donc que le monde et tout ce qu'il contient ont été créés par Dieu. Il est l'Etre Suprême, Immanent, Transcendant. Dieu a créé le monde et rien n'échappe à son action créatrice. De plus, avec son pouvoir et sa sagesse infinie, Il continue de créer et de renouveler toutes les choses. Or, comment Dieu a-t-il créé le monde que nous voyons aujourd'hui et la vie de l’être humain ? Cela n'est pas dit par la Bible aussi clairement qu’on le souhaiterait car il ne s’agit pas là d’une donnée essentielle à notre salut. Le comment, c'est quelque chose que l’homme doit progressivement découvrir au fur et à mesure que les années s'écoulent et que les recherches avancent. Pendant des siècles, l’immense majorité de chrétiens, ayant interprété littéralement les paroles de la Bible, a pensé que Dieu avait créé toutes les choses dès le début telles que nous les voyons maintenant. C'est dire que Dieu aurait placé chaque astre à sa place pour qu'il continue à tourner dans le firmament, selon l'orbite assignée à chacun. On croyait aussi que Dieu avait fait les montagnes, les sentences, les plantes, les animaux et l'homme lui-même, tel que nous le voyons actuellement et que chaque espèce avait eu des descendants, semblables en tout et toujours, à leurs progéniteurs. C’était la une lecture de la Bible qu'on pourrait dire fondamentaliste. C’est-à-dire une lecture qui interprétait chaque phrase au sens littéral, sans prêter aucune attention au genre littéraire utilisé par les auteurs dans leurs narrations. C’était une lecture manquant de sens critique et littéraire. Aujourd'hui, les sciences humaines ont beaucoup avancé et elles nous assurent que ces récits ne sont pas historiques, au sens actuel du mot, mais qu’ils présentent les faits dans le cadre d'une culture orientale qui s'exprimait de préférence à travers des signes et des images. On pourrait considérer les chapitres de la création dans la Genèse comme un beau poème qui, sur le plan religieux, a des choses à nous dire. 2. Alors qu'est-ce que la Bible veut nous dire ? En termes de foi, ce que la Bible veut nous faire comprendre à travers les premiers chapitres de la Genèse, c'est que Dieu créa la matière et lui communiqua un premier élan afin que celle-ci, à travers les transformations successives survenues au long de millions d’années, puisse générer la vie des plantes, des animaux et de l'être humain. C’est-à-dire que Dieu, avec son pouvoir infini, créa la matière à partir du néant et lui infusa un élan créateur afin qu'en se développant, elle devienne ce que nous voyons aujourd'hui. La création n’est pas alors quelque chose du passé. Elle n'a pas été un fait survenu il y a des millions d'années. La création fut et continue. La création n’est pas finie. Aujourd'hui encore, Dieu, en conservant le monde, continue de créer et Dieu lui-même continue d'accompagner cette évolution vers sa totale plénitude. Cette interprétation, originale et en accord avec la science, est née au début du XXe siècle et nous la devons à un homme exceptionnel, un prêtre jésuite appelé Teilhard de Chardin. Elle a l’avantage de faire la synthèse entre la foi et les sciences actuelles. D'après cette interprétation, foi et science, non seulement ne s'opposent pas, mais se complètent mutuellement. 3. Comment Dieu a-t-il créé la terre et le firmament ? La science nous dit que l’univers est constamment en train de changer; que les galaxies s'éloignent les unes des autres à la vitesse de 600 000 kilomètres par seconde ; que l'univers se transforme à chaque instant. Plus la science avance, plus l'homme reste émerveillé face à la grandeur de l'univers et à la petitesse de la planète Terre. Aujourd'hui, la science croit qu'il y a des milliers de millions d’années, la matière dont les astres, les planètes et la Terre sont constitués était comme une grande masse informe. Tout était comme un astre immense qui subit, à un moment donné, une grande explosion que les scientifiques appellent big bang. Selon cette théorie, l'univers se serait formé il y a environ quinze milliards d’années à la suite de cette grande explosion originelle qui aurait provoqué l’émission de protons, de neutrons, d'électrons et de photons à une température très élevée. Et après un très long processus de fragmentation et de descente de ces températures qui atteignaient des millions de degrés, les astres, les planètes, les étoiles commencèrent à apparaître tels que nous les voyons, et parmi eux, la Terre, cette petite planète que nous habitons. Lorsqu'elle se refroidit et lorsque les conditions devinrent adéquates, lentement, au long de millions d'années, la vie surgit. 4. Comment la vie et l’être humain ont-ils surgi ? Lorsque sur la terre il y eut donc les conditions adéquates pour la vie la température, l’eau, l'air l’apparition d’un échelon primitif d'être vivants commença. Tout d'abord, ce fut une vie très primaire et, après, la vie végétale et la vie animale apparurent. Les êtres les plus primitifs étaient des noyaux de cellules. Ensuite, par des transformations successives, firent leur apparition de nouveaux genres de vie, aussi bien végétale qu'animale. Peu à peu apparurent les mers, les plantes, les poissons et les oiseaux. Et c'est ainsi qu'au long du temps, la vie alla en se développant jusqu’à devenir ce qu'elle est aujourd’hui. Cette manière d'agir de Dieu non seulement ne diminue pas son pouvoir divin mais, au contraire, le magnifie et l'agrandit. La vie dans la mer et dans l'air surgit après des millions d’années de mutations et de transformations. Les êtres vivants naissaient, se développaient et s'adaptaient progressivement à leur milieu. Les uns restèrent dans les mers, d'autres émergèrent des eaux vers la terre et, en évoluant, ils s'adaptèrent à leur nouveau milieu. C’est le naturaliste anglais Darwin qui a été amené à cette découverte à partir de ses observations sur le terrain. Cette théorie, appelée évolutionniste a remplacé la théorie fixiste qui est incapable de rendre compte des faits l’existence de squelettes légèrement modifiés. D'après cette interprétation donc, Dieu aurait donné à la création l’élan initial, et aurait fixé les lois de la nature. Celle-ci, en obéissant à l'élan du Créateur, à travers une longue chaîne de transformations, serait arrivée à générer les différentes espèces de plantes, oiseaux, poissons et autres animaux ; et c'est de l'une de ces espèces, choisie au préalable par le Créateur, que serait sorti l’homo sapiens. Dans n’importe quel livre de biologie, on explique aux élèves, avec des dessins, comment la vie animale a surgi de la mer et comment, au cours de millions d'années, elle est allée en s'adaptant au terrain sec. On ajoute aussi comment notre ancêtre marchait d'abord à quatre pattes, pour se redresser ensuite progressivement, cheminant à la fin sur deux pieds. A partir des collections de crânes qui ont été examinés, on montre comment les formes du cerveau humain ont évolué et se sont agrandies jusqu'à devenir celle de l’homo sapiens. La foi chrétienne nous dit qu'il n'y a dans tout cela aucune contradiction avec la Bible ni avec notre dignité. Et que cela ne réduit ni ne diminue en rien le pouvoir du Dieu Créateur. Déjà, le Pape Pie XII dans son Encyclique Humani Generis, en 1950, affirmait qu'il n'était pas contraire à la foi de reconnaître au corps de l'homme une origine, qui aurait pu être une matière vivante, pourvu que l'on maintienne que les âmes sont créées directement par Dieu, ce qui est compatible avec un certain évolutionnisme. Il faut noter ici comment l'Église, Mère et Maîtresse, y compris dans l’interprétation de la Bible, insiste sur le fait que l’homme est formé d’un corps et d’une âme et que celle-ci ne peut pas être le fruit de cette évolution mais que l’âme de chaque être humain est créée directement par Dieu. De là, la grande différence de l'être humain par rapport aux animaux. C’est pourquoi nous croyons que, lorsque la matière en évolution fut suffisamment préparée, Dieu infusa dans l'espèce humaine – ou dans ce tronc d'où l'espèce humaine devait sortir – une âme spirituelle et immortelle. La création de l'âme, ce qui en définitive confère à l'homme sa dignité, est une action directe et immédiate du Créateur. Aujourd’hui encore, la doctrine catholique soutient que lorsque homme et femme s’unissent et qu'une nouvelle vie est générée, c'est alors que Dieu crée pour chaque être humain une âme unique et qu'on ne peut répéter. 5. Quelle place l’homme occupe-t-il dans la création ? En tant que chrétiens, il faut rappeler notre conviction que l’homme n'a pas surgi par hasard dans cette évolution des espèces et qu'il n'a pas été la simple conséquence de l'élan initial de Dieu. L’homme est apparu sur terre comme le fruit de la volonté et du projet de Dieu. La Bible y met une grande insistance. Tout a été créé pour l’homme et l’homme pour Dieu; c'est pourquoi nous aimons dire que l'homme est le roi de la création. L'être humain est créé par Dieu dans ce qu'il a de plus spécifique et il est supérieur à tous les êtres vivants. L'homme est corps et esprit, ou mieux, esprit incarné. Il possède la conscience, la liberté, la capacité d'aimer, ce qui représente le point culminant de l'œuvre de Dieu et les traits de ressemblance avec Dieu. 6. En résumé Des millions de personnes, des siècles durant, ont interprété les premiers chapitres de la Genèse de façon littérale; elles ont pensé que Dieu a créé le monde en six jours semblables à nos jours actuels et que tout fut créé tel qu'on le voit aujourd’hui. Il s'agit de l’explication fixiste. Mais de nos jours, en accord avec le progrès de la science et sans rien contredire de la donnée révélée, nous pouvons accepter l’interprétation évolutionniste, selon laquelle Dieu créa la matière et lui donna le premier élan créateur. Et, au moment choisi par lui-même, grâce à une intervention de sa part, il créa l’âme d'où surgira l'être humain. C’est dans ce contexte que le texte de saint Paul aux Colossiens 1, 15-20 s’éclaire d'une nouvelle lumière Paul présente la mission rédemptrice du Christ – centre de la création – qui divinise les hommes dans une spirale ascendante jusqu'à la plénitude de leur vocation divine, lorsque la fin des temps sera arrivée. Pour réfléchir 1. Quelle est la portée de cette affirmation “La Bible n'est pas un livre de science, mais un livre théologique " ? 2. Qu'est-ce que la Bible nous révèle et qu'est-ce qu’elle ne nous révèle pas par rapport a la création ? 3. Comment faut-il comprendre les chapitres du Livre de la Genèse concernant la Création ? 4. Y a-t-il contradiction entre les récits bibliques de la Création et les théories scientifiques modernes ? 5. Peut-on concilier la foi en Dieu Créateur et la pensée de la science moderne par rapport à l’origine et à l'évolution de l’univers et de la vie ? 6. Que voulons-nous dire quand on affirme que “la création n’est pas finie" ? 7. Quelle est la pensée de l’Église par rapport à la création de l’homme en tant qu’être unique et spirituel ? 8. Peut-on soutenir que l'apparition de l’homme sur terre n’a été que la conséquence par hasard de l'élan initial donné par Dieu à la nature ? 9. Pourquoi l’homme représente-t-il le point culminant de l'œuvre créatrice de Dieu ? Père Carlos Orduna DiezClerc de Saint Viateur1999 1. La poésie un langage codifié ? Si on interroge les élèves sur la singularité de la poésie, on obtiendra certainement la réponse suivante des textes écrits en vers avec des rimes. Bien sûr, une telle réponse est réductrice et on ne saurait s’en satisfaire. Ne l’écartons cependant pas car il s’agit bien là d’un point de départ intéressant. Tout d’abord parce qu’il permet aux élèves de pouvoir identifier aisément le genre d’une grande partie des poèmes, ensuite parce qu’il y avait tout de même du vrai dans cela jusqu’à ce que la modernité poétique ouvre le champ des possibles en investissant notamment le vers libre, la prose ou encore le calligramme. Et n’apprécie-t-on pas davantage cette émancipation poétique et le génie de ses auteurs lorsqu’on sait de quelles contraintes ils se sont affranchis ? Lors de la constitution du corpus, il convient donc de ne pas faire l’impasse sur l’étude des règles de la versification. En revanche, ce que nous enseigne la modernité poétique, qu’on pourra notamment faire découvrir aux élèves de 3e de manière pertinente, c’est que l’essence de la poésie ne réside pas dans la forme typographique. Le langage poétique est différent parce qu’il s’écarte du langage courant, usuel, celui du quotidien. Les mots nomment les choses de la réalité et, en s’organisant les uns avec les autres, forment un ensemble signifiant. D’ailleurs, l’étymologie du mot texte latin textus tissu, trame, assemblage nous renvoie à cette idée. Or, les élèves constatent parfois, non sans une certaine frustration, qu’ils ne comprennent pas un texte poétique, qu’ils n’accèdent pas à son signifiant. Et nul besoin pour cela de leur proposer un poème hermétique ! Le langage poétique est pourtant bien porteur de sens, même si le lettrisme l’a conduit aux limites du signifiant. S’il est singulier, c’est qu’il n’a pas de valeur fonctionnelle, sans pour autant être purement esthétique. Le langage poétique se détourne de la rationalité et de ce qui est communément admis comme étant la réalité pour s’attacher aux sensations et aux émotions. Il s’attarde, accepte la redondance. Il sculpte patiemment un monde pour livrer une perception du réel, c’est-à-dire ce que l’on ne peut éprouver qu’intimement et de manière empirique. Voilà bien une singularité de ce langage un texte poétique peut ne pas me parler, ne rien me dire. Et cela s’explique par le fait que sa compréhension repose sur une rencontre entre le poème et le lecteur. Le poète ne se contente pas de raconter ou de décrire les émotions ou sensations, il cherche à les susciter, à ce que son lecteur les ressente. Il faut donc que les mots agissent et que s’opère une résonance. 2. De la musique avant toute chose Paul Jourdy, Homère chantant ses vers, 1834 Pour émouvoir le lecteur et construire un monde, le poète peut exploiter la dimension musicale du langage poétique. En effet, le lien entre musique et poésie est une évidence lorsqu’on considère l’histoire de ce genre littéraire. Le fait que la lyre soit un symbole de la poésie n’est pas anodin. Cela nous renvoie bien sûr aux aèdes grecs et à la scansion gréco-latine. Dans l’Antiquité, pas de rimes en fin de vers mais un agencement codifié de syllabes courtes ou longues qui rappellent les notes noires ou blanches des partitions musicales. La poésie antique est donc un langage rythmé qui obéit à des contraintes formelles. Les poètes de cette époque utilisaient des types de pieds et de vers codifiés, comme par exemple le fameux hexamètre dactylique. Or, la poésie française s’inscrit dans cet héritage. Dès l’époque médiévale, des types de poèmes codifiés émergent comme le rondeau ou la ballade, que les poètes romantiques se réapproprieront plus tard. Puis, à la Renaissance, apparaît le sonnet… Les vers et les strophes se structurent selon des schémas réguliers qui impriment un rythme et donc une musicalité. La ponctuation et les césures, grâce aux silences, viennent renforcer cette rythmique. Par ailleurs, au sein du langage poétique, le son participe à construire le signifiant en adoptant une fonction imitative allitération et assonance, ludique paronomase ou emphatique rimes. Dès lors, cette musicalité du poème ne saurait être réduite à une simple dimension esthétique. On invitera donc les élèves à observer la construction de cette musicalité au sein des poèmes et on s’efforcera, autant que possible, de souligner son lien avec le sens du texte. Ainsi, les règles de versification ne seront pas étudiées pour elles-mêmes sans lien avec le travail de lecture et de compréhension. 3. Les figures de style au service de l’imagination CDI Saint-Yves Tréguier Liste de lecture 6e décembre 2013 Voici une liste de lectures en 6e en rapport avec le programme. Vous pouvez trouver ces livres au CDI. Contes Pierre Gripari, La sorcière de la rue Mouffetard et autres contes de la rue Broca Gripari, P., Le gentil petit diable et autres contes de la rue Broca Dumas, P., Contes à l’envers Robbins, A., Contes de l’Ouest américain Anonyme, Contes des mille et une nuit Aymé, M., Les contes rouges du chat perché Coppin, 17 récits de pirates et de corsaires Faulkner, W., L’arbre aux souhaits Laporte, M., Les 7 Merveilles du monde Cendrars, B., Petits contes nègres pour les enfants des blancs Descornes, S., récits des pirates, corsaires et flibustiers Handersen, La petite sirène et autres contes Aymé, M., Les contes rouges du chat perché Perrault, C., Contes Daudet, A., La chèvre de M. Seguin Théâtre Molière, Le médecin malgré lui Molière, Trois courtes pièces Molière, Les fourberies de Scapin Helgerson, Louison et M. Molière roman sur Molière Textes fondateurs Homère, L’iliade Homère, L’Odysée Homère, Les héros de l’Iliade Homère, Contes et légendes de l’Iliade Homère, Contes et légendes de l’Odyssée Homère, Sur les traces d’Ulysse Homère, Ulysse et l’Odyssée Mythologie et épopée Gilgamesh Cassebois, J., La création du monde Grenier, C., Les héros de la mythologie Grenier, C., Contes et légendes- Les douze travaux d’Hercule Evano, B., Contes et légendes de l’Egypte ancienne Jacq, C., Contes et légendes du temps des pyramides 12 récits de l’Enéide G. Chandon, Contes et récits tirés de l’Enéide Romans sur l’Egypte et la Rome anciennes Weulersse, O., Les pilleurs de sarcophage Weulersse, O., Le secret du papyrus Brisou-Pellen, E., La vengeance de la momie Dethan, I., Sur les terres d’Horus Surget, A., L’assassin du Nil Barokas, B., Mystère dans la vallée des rois Koenig, V., Néfertiti reine d’Egypte Winterfeld, H., L’affaire Caius Quenot, C., La chute de Carthage Martin, J., Alix le cheval de Troie Nahmias, Titius Flaminius Defrasne, J., Récits tirés de l’histoire de Rome Jay, A., L’esclave de Pompéi Sienkiewicz, H., Quo Vadis Lytton, Les derniers jours de Pompéi Romans sur l’antiquité grecque Hartmann, Ariane contre le minotaure Weulersse, O., Le messager d’Athènes Brisou-Pellen, E., Un piège pour Iphinénie Brisou-Pellen, E., Les enfants d’Athéna Giorda, La revanche de Képhalos Classiques Pagnol, M, La gloire de mon père Twain, M., Les aventures de Tom Sawyer Vasconcelos, Mon bel oranger Collodi, Les aventures de Pinochio Dickens, C., Histoires de fantômes Dickens, C., Le drôle de Noël de M. Scrooge Caroll, L., Alice au pays des merveilles Saint-Exupéry, A., Le petit prince Dumas, A., Les trois mousquetaires Wilde, O., Le fantôme de Canterville London, J, Croc Blanc Daudet, A., Les lettres de mon Moulin Malot, H., Sans famille Kessel, J., Le lion Kipling, R., Histoires comme ça Stevenson, L’île au trésor Romans Jeunesse Rivais, Y., Les sorcières sont Dahl, R., Sacrées sorcières Dahl, R., Mathilda Dahl, R., Le bon gros géant Dahl, R., Charlie et la chocolaterie Dahl, R., James et la grosse pêche Desplechin, M., Verte Chabas, L’eau verte L’Homme, E., Le livre des étoiles Lewis, Le monde de Narnia Orsenna, E., La fabrique des mots Galfard, C., Le prince des nuages Pennac, D., L’oeil du loup Gudule, La Bibliothécaire Gudule, L’école qui n’existait pas Morgenstern, La sixième Morgenstern, Lettres d’amour de 0 à 10 ans Sempé-Goscinny, Le petit Nicolas Druon, M., Tistou et les pouces verts Nemirovski, I., Le bal Bosco, H., L’enfant et la rivière Petit, Mon petit coeur imbécile Colfer, E., Artemis Fowl Pullman, A la croisée des mondes Beck, B., L’enfant chat Poésie Lewis Caroll, La chasse au snark poème-conte Apollinaire, G., Calligrammes Queneau, R., Exercices de style Lafontaine, J de, Fables Prévert, J, Histoires Prévert, J, Paroles Malineau, Drôles de poèmes pour les yeux et les oreilles Romans policiers Horowitz, Le Faucon malté Boileau, P., Sans atout et le cheval fantôme Hitchcock, A., Le perroquet qui bégayait Murail, L’assassin est au collège Leblanc, M., Arsène Lupin- l’aiguille creuse Leblanc, M., L’écharpe de soie rouge Grenier, C., L’ordinatueur Kastner, E., Emile et les détectives Nozière, Des crimes comme ci comme chat Véry, P., Les disparus de Saint-Agil Doyle, Le chien des Baskerville Boileau Narcejac, Les pistolets de Sans-Atout

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